Quand ma maman est partie, j’étais paralysée. Je n’arrivais même pas à ouvrir un album photo. Et puis, j’ai vu ce médaillon… Je l’ai commandé sans trop réfléchir.
Quand je l’ai reçu, j’ai juste scanné, et j’ai commencé par une photo, puis une phrase. Ce jour-là, j’ai pleuré, mais c’était la première fois que je pleurais avec douceur. Aujourd’hui, je retourne sur son profil à chaque date importante. J’y ajoute des mots, et parfois, mes proches aussi.
Ce n’est pas un réseau social, c’est un lieu à nous. Privé. Respectueux. Protégé.